Niafles 2

Camille et Jean-Gabriel à Pontmain

Vendredi – Niafles 2
Sommaire, album photo

Si la nuit a été bonne pour plusieurs, elle a été plus agités pour d’autres : Erin a fait une crise d’asthme. Ce matin, elle n’est pas très vigoureuse, mais le reste de la troupe se porte bien. 

Une petite équipe est de sortie : Camille conduit sa voiture électrique, nous sommes avec Cécile, Jean-Gabriel et Liam. Destination : le petit village de Pontmain, réputé pour des apparitions de la Vierge Marie en 1871. Comme nous avons 80 kilomètres à parcourir dans chaque direction, nous avons du temps pour bien discuter ; en particulier, Camille nous présente un témoignage personnel bien intéressant.

Sur place, c’est tranquille sous la chaleur. Nous visitons les différents édifices : la grange de l’apparition, qui ressemble maintenant plus à une chapelle, l’ancienne église du village, la basilique aux vitraux bleus – nous attendons après la messe -, et les sentiers des pères. Bien intéressant pour entrer dans cette spiritualité et pour cultiver la curiosité.

De retour à la maison, un peu plus tard que prévu, la table nous rassemble à nouveau. Le temps est chaud et lourd, il y a eu un peu de pluie ce matin et elle pourrait revenir.

En après-midi, nous profitons du calme et de la piscine, avec les renforts de deux jeunes baigneuses, les voisines Sixtine et Philomène qui se joignent à Lena. Ma caméra tout-terrain permet d’immortaliser leurs jeux aquatiques.

En fin de journée, départ vers Nancy pour Étienne, Catherine, Cécile et Jean-Gabriel, entassés dans la Zoé avec tous leurs bagages vers la gare de Laval. Tôt en soirée, ce sont Pierre et Camille qui, ayant un engagement, retournent chez eux pour quelques heures. Nous restons donc six.

Après une prière accompagnée à la guitare, les trois enfants et moi passeront la nuit dans la maison principale alors que Laurent et Véronique occuperont l’autre maison, qui constitue leurs quartiers d’été. Je termine la journée avec une belle conversation avec Liam, plus discret en grand groupe mais qui s’ouvre dans ce contexte plus personnel.